En effet, le conseil communal ferait mieux de faire ce travail de ramassage du sable, qui dérange les visiteurs et qui dénote un laisser aller flagrant en matière de maintenance d’une promenade sollicitée à la fois par les touristes comme par les locaux et autres visiteurs… par des moyens efficaces appropriés.
Voir tous ces ouvriers faire des allers et retours pour ramasser du sable à l’aide des pelles et brouettes, sous le soleil, en plein ramadan, est une image qui gène les passants, surtout avec une belle chaleur du printemps que connaît Agadir, en voyant tous ces ouvriers travaillant durement. Une fatigue est lisible sur leur visage, reflétant une désolation et une géne certaines.
En effet, le travail aurait été fait de loin beaucoup mieux à l’aide des engins mécaniques spécialisés, et à un moment qui ne dérangent pas les visiteurs. Hélas les dirigeants de la Commune Urbaine, pensent autrement, faute d’une bonne gestion de la corniche qui devrait être un point positif de plus pour la promotion de la destination balnéaire, tout particulièrement après la reprise des arrivées touristiques.
Nous rappelons à ces messieurs de la gestion communale que la prévention et la gestion des catastrophes est un savoir faire pratique qu’ils doivent apprendre et exercer, avec les moyens appropriés qu’il faut. La plage avec sa promenade sont les atouts principaux du produit touristique. Malheureusement, depuis la réalisation de cette promenade, aucun conseil communal passé n’avait donné l’importance qu’il fallait à ce lieu, unique en son genre dans le Souss Massa.
L’ensablement du sable dans la plage et sur la promenade va en augmentant avec les années, du fait d’un manque efficace de lutte contre ce phénomène dont principalement la réalisation en mer des brises vagues, comme ceux installés en 1970 en face du Club Med, et qui avaient bien préserver cette partie de la plage. EN réalisant des brises vagues sur trois endroits en mer face à la plage, le phénomène de l’envahissement du sable serait réduit sérieusement. Bien sûr cela coûte de l’argent et il faut un budget conséquent pour ces gros œuvres sen mer. « On ne fait pas d’omelette sans casser des œufs »… Car si on ne fait rien, la plage finira par être un jour envahie totalement, rendant son utilisation problématique, voire impossible constituant une produit anti promotionnel pour la destination.
En parlant de la plage et de la baignade, il est tout de même malheureux de remarquer que les Conseil Communaux précédents, n’ont jamais compris que la destination Agadir est une destination d’hiver et que la plage revêt un plaisir énorme en hiver, quant les températures en Europe sont basses. Or pendant cette période, aucun maître nageur ne s’occupe de la plage. Or des surveillants spécialisés dans le sauvetage en baignade doivent être bien répartis sur toute la longue de la plage. Le comble de l’absurde est que même si le drapeau noir est hissé les visiteurs se baignent en toute quiétude. C’est vraiment surréaliste.
IL est inconcevable de laisser l’atout principal touristique, presque à l’abandon faute d’une gestion défaillante durant des années. La preuve tous ces palmiers décoratifs qui meurent devant tous ; aucun système de nettoyage moderne et efficace, des poubelles qui datent de plusieurs années. UN laisser horrible qui ne doit plus exister avec la nouvelle corniche en vue dans le cadre des travaux d’aménagement du PDU (Plan du Développement Urbain).
La plage et la promenade doivent être assurés par une équipe spécialisée dédiée, toute l’année, avec les moyens appropriés nécessaires ; à l’instar des pays balnéaires touristiques qui accordent la vraie importance à l’atout d’une plage. Allez voir messieurs comment procèdent les responsables élus des plages de Las Palmas ou de Tenerife. Et plus Faites du copier-coller et vous allez rendre un grand service à Agadir, à la destination balnéaire et aux professionnels du tourisme qui ne ménagent aucun effort et aucun moyen possible pour la bonne promotion de la destination.
A bon entendeur, salut.
Med RIAL
Voir tous ces ouvriers faire des allers et retours pour ramasser du sable à l’aide des pelles et brouettes, sous le soleil, en plein ramadan, est une image qui gène les passants, surtout avec une belle chaleur du printemps que connaît Agadir, en voyant tous ces ouvriers travaillant durement. Une fatigue est lisible sur leur visage, reflétant une désolation et une géne certaines.
En effet, le travail aurait été fait de loin beaucoup mieux à l’aide des engins mécaniques spécialisés, et à un moment qui ne dérangent pas les visiteurs. Hélas les dirigeants de la Commune Urbaine, pensent autrement, faute d’une bonne gestion de la corniche qui devrait être un point positif de plus pour la promotion de la destination balnéaire, tout particulièrement après la reprise des arrivées touristiques.
Nous rappelons à ces messieurs de la gestion communale que la prévention et la gestion des catastrophes est un savoir faire pratique qu’ils doivent apprendre et exercer, avec les moyens appropriés qu’il faut. La plage avec sa promenade sont les atouts principaux du produit touristique. Malheureusement, depuis la réalisation de cette promenade, aucun conseil communal passé n’avait donné l’importance qu’il fallait à ce lieu, unique en son genre dans le Souss Massa.
L’ensablement du sable dans la plage et sur la promenade va en augmentant avec les années, du fait d’un manque efficace de lutte contre ce phénomène dont principalement la réalisation en mer des brises vagues, comme ceux installés en 1970 en face du Club Med, et qui avaient bien préserver cette partie de la plage. EN réalisant des brises vagues sur trois endroits en mer face à la plage, le phénomène de l’envahissement du sable serait réduit sérieusement. Bien sûr cela coûte de l’argent et il faut un budget conséquent pour ces gros œuvres sen mer. « On ne fait pas d’omelette sans casser des œufs »… Car si on ne fait rien, la plage finira par être un jour envahie totalement, rendant son utilisation problématique, voire impossible constituant une produit anti promotionnel pour la destination.
En parlant de la plage et de la baignade, il est tout de même malheureux de remarquer que les Conseil Communaux précédents, n’ont jamais compris que la destination Agadir est une destination d’hiver et que la plage revêt un plaisir énorme en hiver, quant les températures en Europe sont basses. Or pendant cette période, aucun maître nageur ne s’occupe de la plage. Or des surveillants spécialisés dans le sauvetage en baignade doivent être bien répartis sur toute la longue de la plage. Le comble de l’absurde est que même si le drapeau noir est hissé les visiteurs se baignent en toute quiétude. C’est vraiment surréaliste.
IL est inconcevable de laisser l’atout principal touristique, presque à l’abandon faute d’une gestion défaillante durant des années. La preuve tous ces palmiers décoratifs qui meurent devant tous ; aucun système de nettoyage moderne et efficace, des poubelles qui datent de plusieurs années. UN laisser horrible qui ne doit plus exister avec la nouvelle corniche en vue dans le cadre des travaux d’aménagement du PDU (Plan du Développement Urbain).
La plage et la promenade doivent être assurés par une équipe spécialisée dédiée, toute l’année, avec les moyens appropriés nécessaires ; à l’instar des pays balnéaires touristiques qui accordent la vraie importance à l’atout d’une plage. Allez voir messieurs comment procèdent les responsables élus des plages de Las Palmas ou de Tenerife. Et plus Faites du copier-coller et vous allez rendre un grand service à Agadir, à la destination balnéaire et aux professionnels du tourisme qui ne ménagent aucun effort et aucun moyen possible pour la bonne promotion de la destination.
A bon entendeur, salut.
Med RIAL
Santa Cruz de Tenerife